Comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la révolution, Marc Buchy, 2023, avec Luuse, Mondes nouveaux et la Ville de Besançon
L’œuvre végétale de Marc Buchy réinterprète les recherches de Carl von Linné et son idée de chronobiologie. En 1751, le naturaliste suédois dresse une liste de fleurs qui s’ouvrent et se ferment à des moments particuliers. Linné suggère alors qu’il serait possible de lire l’heure en se basant sur le mouvement de leurs corolles. Plantée d’est en ouest dans le parc des Glacis de Besançon, l’installation nous invite à la déambulation et à l’observation. Équipe : Marc Buchy, artiste ; Gil Ferrand, ethnobotaniste, conseiller scientifique ; Michel Péna, paysagiste-concepteur ; Eva Maric, paysagiste-infographiste ; conception numérique : ASBL Luuse (Antoine Gelgon, Lara Dautun, Natalia Pageau) ; typographies : Immortel Infra (Clément Le Tulle-Neyret, 205TF) & Post Gill Sans (Ésad•Valence), soclage : Yves Morel Workshop ; photographies : Nicolas Waltefaugle.
www.horologiumflorae.fr
Comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la révolution, Marc Buchy, 2023, avec Luuse, Mondes nouveaux et la Ville de Besançon
L’œuvre végétale de Marc Buchy réinterprète les recherches de Carl von Linné et son idée de chronobiologie. En 1751, le naturaliste suédois dresse une liste de fleurs qui s’ouvrent et se ferment à des moments particuliers. Linné suggère alors qu’il serait possible de lire l’heure en se basant sur le mouvement de leurs corolles. Plantée d’est en ouest dans le parc des Glacis de Besançon, l’installation nous invite à la déambulation et à l’observation. Équipe : Marc Buchy, artiste ; Gil Ferrand, ethnobotaniste, conseiller scientifique ; Michel Péna, paysagiste-concepteur ; Eva Maric, paysagiste-infographiste ; conception numérique : ASBL Luuse (Antoine Gelgon, Lara Dautun, Natalia Pageau) ; typographies : Immortel Infra (Clément Le Tulle-Neyret, 205TF) & Post Gill Sans (Ésad•Valence), soclage : Yves Morel Workshop ; photographies : Nicolas Waltefaugle.
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L’œuvre végétale de Marc Buchy réinterprète les recherches de Carl von Linné et son idée de chronobiologie. En 1751, le naturaliste suédois dresse une liste de fleurs qui s’ouvrent et se ferment à des moments particuliers. Linné suggère alors qu’il serait possible de lire l’heure en se basant sur le mouvement de leurs corolles. Plantée d’est en ouest dans le parc des Glacis de Besançon, l’installation nous invite à la déambulation et à l’observation. Équipe : Marc Buchy, artiste ; Gil Ferrand, ethnobotaniste, conseiller scientifique ; Michel Péna, paysagiste-concepteur ; Eva Maric, paysagiste-infographiste ; conception numérique : ASBL Luuse (Antoine Gelgon, Lara Dautun, Natalia Pageau) ; typographies : Immortel Infra (Clément Le Tulle-Neyret, 205TF) & Post Gill Sans (Ésad•Valence), soclage : Yves Morel Workshop ; photographies : Nicolas Waltefaugle.
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Maman la plus belle, Ju Hyun Lee, 2022, avec les Ateliers Juste Ici et le Festival des solutions écologiques Bourgogne-Franche-Comté
Projet de culture comestible-urbaine-verticale-écologique, sculpture de compost végétalisé et réalisé dans le quartier La Planoise à Besançon. Typographies : PicNic (Mariel Nils, Velvetyne), Lexend (Bonnie Shaver-Troup & Thomas Jockin) et Fraunces (Undercase), photographies : Nicolas Waltefaugle.
www.mamanlaplusbelle.fr
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Projet de culture comestible-urbaine-verticale-écologique, sculpture de compost végétalisé et réalisé dans le quartier La Planoise à Besançon. Typographies : PicNic (Mariel Nils, Velvetyne), Lexend (Bonnie Shaver-Troup & Thomas Jockin) et Fraunces (Undercase), photographies : Nicolas Waltefaugle.
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Projet de culture comestible-urbaine-verticale-écologique, sculpture de compost végétalisé et réalisé dans le quartier La Planoise à Besançon. Typographies : PicNic (Mariel Nils, Velvetyne), Lexend (Bonnie Shaver-Troup & Thomas Jockin) et Fraunces (Undercase), photographies : Nicolas Waltefaugle.
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« Collection des incertitudes », 2019, avec Colm O’Neill, Constant vzw, Fédération Wallonie-Bruxelles
Ce projet trouve sa source dans les collections patrimoniales digitalisées rendues publiques et se constitue de l’ensemble des « artefacts » dont la notice contient un vocabulaire à tendance « incertaine ». Elle est en perpétuelle évolution, tout comme les savoirs, et évolue au gré des connaissances et des reconnaissances incertaines du monde scientifique. La Collection des incertitudes a été initiée avec Martin Campillo lors de DiVersions, une worksession organisée par l’associaton d’art et média Constant vzw en collaboration avec le Musée Royal d’Art et Histoire à Bruxelles. Un projet numérique a été développé avec Colm O'Neill et présenté à Pianofabriek en 2019 et en ligne. Typographie : Antique Noble (Paol Darcel).
www.diversions.constantvzw.org
di.versions.space/collection-of-uncertainties
« Collection des incertitudes », 2019, avec Colm O’Neill, Constant vzw, Fédération Wallonie-Bruxelles
Ce projet trouve sa source dans les collections patrimoniales digitalisées rendues publiques et se constitue de l’ensemble des « artefacts » dont la notice contient un vocabulaire à tendance « incertaine ». Elle est en perpétuelle évolution, tout comme les savoirs, et évolue au gré des connaissances et des reconnaissances incertaines du monde scientifique. La Collection des incertitudes a été initiée avec Martin Campillo lors de DiVersions, une worksession organisée par l’associaton d’art et média Constant vzw en collaboration avec le Musée Royal d’Art et Histoire à Bruxelles. Un projet numérique a été développé avec Colm O'Neill et présenté à Pianofabriek en 2019 et en ligne. Typographie : Antique Noble (Paol Darcel).
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